Objectif de la mission
Lydia Solutions est une entreprise française de fintech fondée en 2011, spécialisée dans les services de paiement mobile.
Elle développe et exploite l'application Lydia, qui permet aux utilisateurs d'effectuer des paiements mobiles, des transferts d'argent entre particuliers, ainsi que la gestion de cagnottes en ligne. Depuis 2024, l'entreprise a enrichi ses services avec le lancement de Sumeria, une offre de compte courant rémunéré, marquant ainsi son entrée dans le secteur bancaire.
Dans le cadre de leur développement, j'ai rejoint l'aventure pour apporter mon expertise à l'équipe "Customer Knowledge", responsable de toute la connaissance client.
Elle développe et exploite l'application Lydia, qui permet aux utilisateurs d'effectuer des paiements mobiles, des transferts d'argent entre particuliers, ainsi que la gestion de cagnottes en ligne. Depuis 2024, l'entreprise a enrichi ses services avec le lancement de Sumeria, une offre de compte courant rémunéré, marquant ainsi son entrée dans le secteur bancaire.
Dans le cadre de leur développement, j'ai rejoint l'aventure pour apporter mon expertise à l'équipe "Customer Knowledge", responsable de toute la connaissance client.
Déroulement de la mission
J'ai travaillé en collaboration avec le directeur de l'équipe Customer Knowledge et le product owner.
Cette mission m'a offert une grande autonomie et m'a permis de développer davantage de maturité professionnelle grâce aux défis relevés.
Voici les principaux chantiers sur lesquels j'ai dû intervenir :
Cette mission m'a offert une grande autonomie et m'a permis de développer davantage de maturité professionnelle grâce aux défis relevés.
Voici les principaux chantiers sur lesquels j'ai dû intervenir :
- Conception d'un système pour arrêter le screening des utilisateurs supprimés.
Lydia, en tant qu'acteur bancaire, a des obligations légales, notamment en matière de suivi des personnes politiquement exposées. Pour cela, à chaque création de compte, les utilisateurs sont vérifiés via une solution tierce.
Cependant, les clients supprimés ou désactivés continuaient d'être suivis, générant des coûts inutiles.
J'ai mis en place un système permettant de cesser le tracking des utilisateurs obsolètes, ce qui a contribué à réduire ces coûts. - Amélioration du système de gestion des IBAN.
La partie principale de ma mission a consisté à créer un système de catégorisation des IBAN, ainsi qu'un processus permettant de certifier leur validité.
Pour des raisons de confidentialité, je ne peux pas entrer dans les détails de cette implémentation.
Technologies utilisées
Chez Lydia Solutions, plusieurs briques technologiques coexistent.
J'ai eu l'opportunité d'intervenir sur les briques "legacy", développées principalement en PHP, avec des frameworks comme Symfony et FuelPHP pour les systèmes les plus anciens.
Les technologies plus récentes s'alignent sur les normes actuelles, reposant sur des architectures en microservices. La plupart de ces microservices sont développés en Go et communiquent via un event broker / event bus.
J'ai eu l'opportunité d'intervenir sur les briques "legacy", développées principalement en PHP, avec des frameworks comme Symfony et FuelPHP pour les systèmes les plus anciens.
Les technologies plus récentes s'alignent sur les normes actuelles, reposant sur des architectures en microservices. La plupart de ces microservices sont développés en Go et communiquent via un event broker / event bus.
Problématiques et résolutions
La connaissance métier étant fragmentée, j'ai échangé avec différentes parties prenantes ayant une expertise technique ou métier.
Le caractère transverse du projet m'a amené à collaborer avec des membres de diverses équipes, appelées "verticales" chez Lydia.
La principale complexité résidait dans la communication entre microservices, qui se faisait soit via des événements, soit par des appels directs utilisant GRPC.
Certains webservices nécessitaient d'être mockés pour garantir une intégration fluide.
Le caractère transverse du projet m'a amené à collaborer avec des membres de diverses équipes, appelées "verticales" chez Lydia.
La principale complexité résidait dans la communication entre microservices, qui se faisait soit via des événements, soit par des appels directs utilisant GRPC.
Certains webservices nécessitaient d'être mockés pour garantir une intégration fluide.